Polémique autour des raisons qui ont privé Marie-Sophie Lacarrau de faire ses adieux sur France 2

Le Parisien affirme que la journaliste, en partance pour TF1, a tenté de quitter France Télévisions avec un gros chèque. Faux, rétorque cette dernière...

Polémique autour des raisons qui ont privé Marie-Sophie Lacarrau de faire ses adieux sur France 2
©AFP

Le 17 septembre dernier, sans le savoir, Marie-Sophie Lacarrau disait une dernière fois au revoir aux téléspectateurs de France 2. C’est aussi ce jour-là que l’on avait appris qu’elle a été choisie pour succéder à Jean-Pierre Pernaut pour la présentation du 13 heures de TF1. Dès le lendemain, plus de Marie-Sophie Lacarrau à l’antenne sur la chaîne qui jusque-là l'employait. Elle était privée de faire ses adieux à ceux qui la suivaient sur le service public. On se dit alors que France Télévisions n’a pas apprécié ce transfert et sanctionne ainsi sa présentatrice. Pourtant, le mercato dans le domaine de la télévision, c’est un sport national en France. Peut-être moins chez les présentateurs de JT que chez les animateurs, mais tout de même…

En réalité, ce qui aurait privé Marie-Sophie Lacarrau de ses adieux s’est déroulé en coulisses. Le Parisien révèle que le jour même où elle était annoncée en partance pour TF1, elle a tenté une manœuvre aussi audacieuse que risquée et elle s’y est brûlé les ailes. La journaliste aurait essayé de bénéficier d’un gros chèque proposé dans le cadre d’un plan de départ volontaire mis en place pour le personnel et activé jusqu’en 2022. À la clé : une enveloppe de 160 000 euros liée à son ancienneté ! Elle travaillait pour France Télévisions depuis 20 ans.

D’après le quotidien, c’est cette manœuvre qui aurait très fort déplu à la direction. Une fois l’affaire connue de Delphine Ernotte, à la tête du service public, le couperet serait tombé.

Marie-Sophie Lacarrau répond aux accusations

“C’est complètement faux” rétorque la nouvelle présentatrice du 13 heures de TF1 dans un droit de réponse. “Le 17 septembre, quand je suis allée dans le bureau de la RH (Ressources humaines, NdlR.), c’était pour remettre ma lettre de démission. Et j’en suis sortie avec ma lettre signée. Je n’ai demandé aucune indemnité”, s’est-elle défendue.

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