Stoalin’ Isbells
Sorti en 2009, le premier album éponyme d’Isbells fut disque d’or en Belgique (10 000 exemplaires). On ne voit pas ce qui pourrait empêcher "Stoalin’" d’emprunter la même voie. Sa folk, qui apparaît datée mais tient avant tout de l’intemporel, possède quelque chose d’expérimental tout en étant mélodique. Gaëtan Vandewoude compose seul dans sa grange pour autant qu’il n’y fasse pas trop froid (!) Guitare limpide, banjo et trompettes flottant en apesanteur, chant, introspectif, subtil et délicat même quand il énonce "I never wanna see you again" ("Hearts attacks")
Publié le 09-05-2012 à 04h15
Sorti en 2009, le premier album éponyme d’Isbells fut disque d’or en Belgique (10 000 exemplaires). On ne voit pas ce qui pourrait empêcher "Stoalin’" d’emprunter la même voie. Sa folk, qui apparaît datée mais tient avant tout de l’intemporel, possède quelque chose d’expérimental tout en étant mélodique. Gaëtan Vandewoude compose seul dans sa grange pour autant qu’il n’y fasse pas trop froid (!) Guitare limpide, banjo et trompettes flottant en apesanteur, chant, introspectif, subtil et délicat même quand il énonce "I never wanna see you again" ("Hearts attacks")
1 CD Zealrecords/Konkurrent
En concert aux Nuits Bota (Chapiteau) le 15/5