Mark Grey, l’inattendu de Frankenstein

Nicolas Blanmont
Mark Grey, l’inattendu de Frankenstein
©stella olivier

Quand un compositeur américain inconnu ici signe une création à la Monnaie.On cherchera en vain le nom de Mark Grey dans les programmations d’Ars Musica ou dans les listings d’Operabase, le site qui recense tous les opéras récemment donnés dans le monde. S’il est loin d’être un débutant, le compositeur du Frankenstein qui sera créé ce vendredi à la Monnaie a peu été prophète en dehors de son pays - les États-Unis -, et ses états de services purement lyriques sont rares. On peut même deviner, à écouter ce qu’Internet permet de découvrir de ses créations précédentes, que sa partition sera plus proche de l’école américaine post-Glass et Adams que des postsériels et post-Darmstadt qui dominent en Europe.

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