The Blaze, l’amour de la poésie et des antihéros

Rencontre avec le duo avant son passage à l’AB, puis Rock Werchter cet été.

The Blaze, l’amour de la poésie et des antihéros

Rencontre avec le duo avant son passage à l’AB, puis Rock Werchter cet été. Blouson de cuir et pantalon de training sur le corps, un jeune homme s’allume un joint. Un autre passe de la musique dans l’appartement, avant de s’emparer du micro et de chanter sous les yeux de son ami, son frère, son cousin… Peu importe au final. Seul le sentiment de bien-être et de plénitude qui se dégage de la scène a de l’importance. Tous deux se mettent alors à danser, se prendre dans les bras, rigoler, du haut de leur gigantesque immeuble de cité typiquement bruxellois. Le spectateur pensait assister à une scène "virile" - du nom du morceau qui accompagne le clip - mais il est renvoyé à ses croyances sur les cités, les jeunes, les immigrés à divers degrés, dont on ne montre pour une fois que l’amour et la fraternité.

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