Comment accède-t-on à un concours tel le Reine Elisabeth ? "C’est quelque chose dans le corps, comme une voix"

Martine D. Mergeay
Comment accède-t-on à un concours tel le Reine Elisabeth ? "C’est quelque chose dans le corps, comme une voix"
©belga

Qui sont-ils, ces jeunes pianistes capables de changer de fuseau horaire tous les jours (même en temps de pandémie), d’affronter les plus grands concours internationaux, d’enchaîner les sonates de Haydn, les études de virtuosité, les gavottes de Rameau, les concertos de Mozart, les chefs-d’œuvre les plus exigeants, les plus longs, les plus complexes du répertoire sans péter les plombs ? Nous avons posé la question à notre compatriote Jean-Claude Vanden Eynden, bien placé pour y répondre puisqu’il fut troisième lauréat du Concours Reine Elisabeth en 1964 (il avait 16 ans), et est aujourd’hui membre du jury et mène de front une brillante carrière de pianiste et de professeur.

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