Bruno Mantovani : Réminiscence et effervescence "d’un jardin féerique"

Le Français Bruno Mantovani signe le concerto inédit de la session 2021.

Martine D. Mergeay
Bruno Mantovani : Réminiscence et effervescence "d’un jardin féerique"
©MAXPPP

Depuis la fondation du Concours Reine Élisabeth, les fameux concertos "imposés" (ou "inédits") ont connu des fortunes diverses. Objets de commandes dans les premières décennies (notamment à Darius Milhaud, Jean Absil ou Jacqueline Fontyn), ils furent progressivement reliés au concours de composition organisé par le Concours Reine Élisabeth lui-même et tenu tous les quatre ans. Mais la réussite artistique fut rarement au rendez-vous et, à quelques exceptions près, aucun de ces concertos ne rentra au répertoire. À partir de 2015, l’imposé (re)devint donc l’objet d’une commande officielle, adressée à un musicien de stature internationale (fût-il belge), avec de bonnes surprises à la clé. L’œuvre annoncée pour cette session devrait en faire partie.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...