Bruno Mantovani : "Je ne suis pas le compositeur d’une école, je ne rejette rien mais je ne m’interdis rien non plus"

Loin de sa frénésie coutumière, le compositeur de l’imposé du Reine Elisabeth a vécu le premier confinement comme une chance.

Martine Mergeay
Bruno Mantovani : "Je ne suis pas le compositeur d’une école, je ne rejette rien mais je ne m’interdis rien non plus"

C’est un compositeur jeune, charismatique, prolifique, joué dans le monde entier, couvert de prix, de titres (trois fois chevalier, une fois officier) et de distinctions internationales ; il est aussi l’homme le plus chaleureux du monde, bon vivant, spontané et particulièrement drôle (assez rare dans la profession). C’est à lui que le Concours Reine Elisabeth s’est adressé pour le concerto "inédit" de la session piano 2021 dont la finale a lieu cette semaine (voir article dans notre édition de mardi 25 mai). Lors du premier tour, ses Études faisaient partie de celles proposées aux candidats et permirent au public de se familiariser avec sa manière, virtuose, sensuelle et libre.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...