La double vie de Tina Turner

Le documentaire "Tina" renvoie à l’une des plus grandes voix soul et à l’une des meilleures chanteuses rock.

La double vie de Tina Turner
©AFP

Qui n’a pas été frappé par la foudre Tina Turner sur scène n’a jamais vu de spectacle rock’n’roll. Bon, d’accord, les Stones, U2 et ses cathédrales dressées dans les stades, les invitations d’Alice Cooper à partager ses cauchemars, Johnny au Stade de France… Mais Tina, l’énergie de Tina, la voix de Tina émergeant du fond des âges, le jeu de jambes affolant de Tina, la générosité illimitée de Tina, on chercherait en vain un équivalent. Le James Brown de la grande époque ? Peut-être. Tout ça pour recentrer quelque peu la question. Depuis la dernière tournée de la diva du rock, en 2009, les projecteurs semblent ne plus se focaliser que sur les déboires de sa vie privée avec feu Ike Turner. Il est certain que Tina, le dernier documentaire en date, ne pouvait faire l’impasse sur la question dramatique, inacceptable, de la violence conjugale, physique et psychologique, dont elle a été victime pendant 17 ans.

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