Jan Lauwers et le spectacle de l’intolérance

Résurrection d’une œuvre négligée de Luigi Nono. À la mise en scène, Jan Lauwers, manque le coche.

Nicolas Blanmont, envoyé spécial à Salzbourg
Jan Lauwers et le spectacle de l’intolérance

C'est un des paradoxes de Salzbourg. On y remplit les 2 000 places du Grand Festspielhaus pour Mozart, mais on remplit tout autant le Manège des Rochers (plus de 1300 places) pour une œuvre "contemporaine" qui parle de réfugiés, d'oppression, de torture et de liberté. Luigi Nono a souvent été à l'honneur au festival qui, après Prometeo (1993) et Al gran sole carico d'amore (2009), affiche cette année Intolleranza 1960, "action scénique en deux parties" créée à Venise voici juste soixante ans.

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