Matthieu Chedid : "Je suis convaincu que je ne sais pas faire de tubes"

L’auteur-compositeur français est de retour avec un septième opus. Un disque aux accents funk et pop, conçu comme une ode à l’enfance. De grands musiciens américains l’ont rejoint dans l’aventure.

Sur son album précédent, Lettre Infinie, le personnage fantasque de - M - déployait des teintes blanches et dorées. Il revient, cette fois, paré de violet pour illustrer Rêvalité. Une couleur obtenue du mélange du bleu, associé aux rêves pour sa douceur et sa nébulosité, et du rouge, vif et intense, à l'image de la réalité. Le mot-valise qui donne le titre du septième opus de Matthieu Chedid joue autour de la rivalité entre deux mondes que l'on imagine opposés. L'auteur-compositeur l'avoue lui-même, "ça fait un peu jeu de mots facile." Ce terme inventé lui permet néanmoins d'apposer une narration au projet. "Il s'agit d'une prise de conscience. Un homme sans rêve ne peut pas vivre. Le rêve et la vie sont totalement reliés. Le monde du cœur est beaucoup plus libre que ce que l'on ne pense."

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