Charlotte Charles-Heep, une main de fer dans un gant de velours
La jeune Française reprend la direction de Chassepierre. Elle est l’une des plus anciennes spectatrices du Festival international des arts de la rue. Un petit bout de femme qui n’a pas froid aux yeux. Rencontre.
:format(jpg):focal(465x240:475x230)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/J6IBTZ2VKNF2HDVGRWW546VDG4.jpg)
Bertels Laurence
Publié le 17-06-2015 à 16h58 - Mis à jour le 18-06-2015 à 12h25
Vrai, en théâtre de rue, l’ère n’est plus aux cracheurs de feu ni aux porteurs de poids et haltères. La gouaille est toujours de la partie mais une certaine poésie, brute...
Cet article est réservé aux abonnés
Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité
Déjà abonné ?Connectez-vous