Sous le vernis, des parents pas si “beaux” que ça

Éric De Staercke met en scène "Les beaux", texte percutant et acide de Léonore Confino.

Ken et Barbie ou Fabio Zenoni et Ariane Rousseau dans “Les beaux”.
Ken et Barbie ou Fabio Zenoni et Ariane Rousseau dans “Les beaux”. ©Bartolomeo La Punzina

Ça suinte le vécu. Souffrance, incompréhension, rancœur, désillusion, mal-être, haine mais aussi amour et espoir : dans Les beaux, l'autrice franco-suisse Léonore Confino étrille le mythe du couple – et de la famille – parfait(e), de sa plume trempée dans l'humour grinçant et l'absurde.

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