Christos Papadopoulos, pourfendeur de perception

Christos Papadopoulos ouvre avec "Larsen C" la biennale Pays de danses. Focus grec pour l’édition 2022. Des enjeux du réel aux tréfonds de l’histoire, un art en prise sur son temps.

"Notre pire ennemi est la normalité. J'aime bien aboutir à un endroit où je n'avais pas prévu d'arriver. Toujours se surprendre, changer de direction."
"Notre pire ennemi est la normalité. J'aime bien aboutir à un endroit où je n'avais pas prévu d'arriver. Toujours se surprendre, changer de direction." ©Pinelopi Gerasimou for Onassis Stegi

Fin septembre, Christos Papadopoulos donnait au Théâtre Jean Vilar de Vitry-sur-Seine, en région parisienne, la première de Larsen C. Comme les précédents Elvedon, inspiré des Vagues de Virginia Woolf (ses débuts de chorégraphe, en 2015, présenté en août dernier aux Brigittines), ou ION (accueilli aux Halles fin 2018), ce nouveau spectacle de groupe révèle un travail d'obsession et de finesse, en connexion avec les éléments – comme l'indique d'ailleurs son titre.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...