“Tervuren”: peut-on décoloniser un musée ethnographique?

D’un sujet sensible, Céline Beigbeder fait, avec Fatou Hane, la matière d’un kaléidoscope théâtral. Création au Festival de Liège.

Fatou Hane en gardienne de musée et Céline Beigbeder en visiteuse habituée, descendante de militaire "amoureux de l'Afrique".
Fatou Hane en gardienne de musée et Céline Beigbeder en visiteuse habituée, descendante de militaire "amoureux de l'Afrique". ©Dominique Houcmant | Goldo

Un long tapis blanc courant du sol à la paroi du fond enchâsse la “boîte blanche” du musée dans la “boîte noire” du théâtre. Au bord de l’espace scénique gisent une série de bustes de Léopold II, maculés de rouge. Comme un prélude à la question autour de laquelle tourne depuis longtemps l’actrice et metteuse en scène Céline Beigbeder.

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