Au Kunstenfestivaldesarts, “J’ai une épée” de et par Léa Drouet: se laisser pourfendre par l’enfance

Après “Violences”, Léa Drouet examine les institutions chargées de protéger la jeunesse, en débusque les manquements, redonne place aux vies et aux imaginaires des enfants.

Léa Drouet dans le décor signé Élodie Dauguet.
Léa Drouet dans le décor signé Élodie Dauguet. ©Simon Loiseau

Une série de blocs de tailles diverses, soigneusement alignés, structurent la scène. Le blanc pailleté de leur surface se révélera irisé et mouvant sous les lumières. Léa Drouet s’avance. Cheveux courts et platine, short et haut à capuche, baskets, chaussettes. Androgyne, juvénile. L’enfance la traverse.

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