"Lysistrata": elles décrètent une grève du sexe pour revendiquer leurs droits

Le Théâtre du Parc démarre sa saison avec “Lysistrata”, une pièce librement inspirée du poète grec Aristophane, qui met à l’honneur les femmes et leurs combats, sur scène (elles sont neuf pour un seul comédien) et dans le texte. Jusqu’au 14 octobre.

Lysistrata (Anouchka Vingtier, à droite) est venue défier le magistrat (Guy Pion, à gauche), symbole du patriarcat.
Lysistrata (Anouchka Vingtier, à droite) est venue défier le magistrat (Guy Pion, à gauche), symbole du patriarcat. ©AUDE VANLATHEM

Iran, Afghanistan, RDC, Espagne…, partout dans le monde, les femmes luttent pour faire entendre leur voix et défendre leurs droits. “Pour moi, si le théâtre ne peut pas rendre hommage à des aventures humaines comme celle-là, et bien, on ne remplit pas complètement notre mission”, défendait il y a peu, dans nos colonnes, Thierry Debroux, le directeur du Théâtre du Parc.

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