Mesdames les expertes, de grâce, soyez imprudentes !
Le syndrome de l’imposteur, régulièrement observé chez nos interlocutrices, chercheuses et professeures d’université, a ses limites. La prise de risque, lorsqu’elle est calibrée, est une vertu.
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Alice DiveJournaliste au sein du service Débats/Opinions
Publié le 08-04-2022 à 13h28 - Mis à jour le 28-04-2022 à 13h34
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"Ah non, pas moi ! - Si,...
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