Le baiser de la mort

Un édito de Francis Van de Woestyne.

Le baiser de la mort
©AFP

Entre un président rationnel, progressiste, européen, jugé distant mais constant, technocratique mais énergique, lointain mais éclairé, et une candidate d’extrême droite qui a réussi à polir son discours jusqu’à faire oublier ses obsessions identitaires, il n’y a pas une seconde à hésiter. Pourtant, de nombreux électeurs de droite et de gauche sont prêts à s’abstenir ou à voter pour l’amie de Viktor Orban et de Vladimir Poutine. Le scénario "inenvisageable" n’est plus à exclure. Pour trois raisons.

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