De la souplesse pour limiter les dégâts

Un édito de Dorian de Meeûs.

BRUSSELS, BELGIUM - MAY 21 : Caroline Désir Minister of Education of the French Community (PS) pictured at 
' L' école du bonheur ' (Woluwe-Saint-Lambert / Sint-Lambrechts-Woluwe) May 21, 2021 in Brussels, Belgium, 21/05/2021 ( Photo by Didier Lebrun / Photonews
Caroline Désir, ministre de l'Education en FWB ©DLE

Une réforme systémique, comme celle du changement des rythmes scolaires dans une seule communauté, nécessite une anticipation et une coordination exceptionnelles. Passer en force en quatre mois, sous prétexte que l’idée est dans l’air depuis 30 ans, ne peut que bousculer les familles et se heurter à des choix d’écoles qui ont été faits précédemment. Les débats actuels au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles confirment pourtant à quel point la réforme de Caroline Désir était précipitée, mal préparée et peu concertée. Entendre la ministre de l’Éducation se réjouir des retours « très très positifs » après les premières vacances de carnaval allongées a de quoi étonner, tant les retours critiques ou même incendiaires sont nombreux à Bruxelles, dans la périphérie ou près de la frontière linguistique.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...