Ceci ne vaut pas une crise

Un édito de Dorian de Meeûs.

Bénédicte Linard (en haut à gauche), Frédéric Daerden (en bas à gauche), Pierre-Yves Jeholet (au centre), Caroline Désir (en haut à droite) et Valérie Glatigny (en bas à droite) composent l’exécutif de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Bénédicte Linard (en haut à gauche), Frédéric Daerden (en bas à gauche), Pierre-Yves Jeholet (au centre), Caroline Désir (en haut à droite) et Valérie Glatigny (en bas à droite) composent l’exécutif de la Fédération Wallonie-Bruxelles. ©Avec BELGA, PhotoNews et Reporters

La séquence orageuse initiée par le refus d’un master en médecine à l’UMons met en évidence différentes manières de faire de la politique. Cet éventail de styles, de tempéraments et de priorités budgétaires et sociétales explique grandement un tel emballement. On savait que la bataille du Hainaut allait alimenter la campagne électorale de 2024, mais pas à ce point et encore moins si tôt. Face aux critiques virulentes de Georges-Louis Bouchez contre les socialistes, Paul Magnette semble à bout de patience, s’énerve et menace de se débarrasser du MR. Ce bras de fer permet au président du PS de faire d’une pierre deux coups : il déstabilise les libéraux et fragilise leur président.

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