Les bienfaits d’un clash politique

Un édito de Dorian de Meeûs.

Georges-Louis Bouchez et Paul Magnette
Georges-Louis Bouchez et Paul Magnette ©BELGA

La volonté de l’UMons de proposer un master en médecine a failli faire chuter les gouvernements communautaire et wallon. La tension était à son comble, la menace réelle. Bien qu’émotionnel, le dossier n’était pas suffisamment urgent, lourd ou symbolique pour dynamiter le déjà fragile échiquier politique. Paul Magnette, Georges-Louis Bouchez et Jean-Marc Nollet (dans le rôle de démineur) ont trouvé un accord pour le moins équilibré. L’UMons pourra – comme le souhaitait la gauche wallonne – lancer sa filière. Feu vert aussi pour le master de spécialisation en médecine générale à l’UNamur.

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