Le droit de manifester, pas de casser

Un édito de Dorian de Meeûs.

Molenbeek: la station de métro Osseghem saccagée par une bande de casseurs.
Une station de métro saccagée par des casseurs. ©Benoit Vanzeveren

Chacun a le souvenir d’avoir un jour été choqué par la violence qui perturbe certaines manifestations. Que ce soit dans le cadre de luttes sociales, de contestations de mesures sanitaires, d'actions politiques ou de marches citoyennes, la violence n’est jamais porteuse d’un message audible. Et quand une manifestation monstre se résume à un bilan désastreux de destructions et de blessés, c’est qu’il y a un problème à résoudre. Un problème démocratique. Y répondre est dans l’intérêt de tous. Encore faut-il mettre sur la table un projet de texte clair et largement accepté.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...