Le mal wallon n’est pas une fatalité

Un édito de Dorian de Meeûs.

Le mal wallon n’est pas une fatalité
©JEAN LUC FLEMAL

Pour trouver un emploi, il ne suffit pas de traverser la rue, même si la Wallonie dénombre 200 000 postes vacants dans la construction, l’Horeca, l’informatique et bien d’autres métiers en pénurie… Plusieurs contraintes personnelles (mobilité, pénibilité, technicité, situation familiale…) peuvent empêcher un demandeur d’emploi d’accepter une offre. Mais d’autres sont imputables aux autorités publiques, à commencer par une culture politique qui ne valorise pas suffisamment le travail ni l’esprit d’entreprise.

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