Un édito de Francis Van de Woestyne.

On peut vivre, paraît-il, un mois sans nourriture, une semaine sans eau, cinq minutes sans air, mais on ne peut pas vivre une seconde sans espoir… Donc, loin de nous l’idée, même fugace, d’affirmer que rien ne va, que notre stratégie de lutte contre le virus est nulle. Mais la certitude de penser que nous gagnerons ce combat ne nous empêche pas d’épingler quelques ratés. Il semble qu’à chaque étape, nous plongions à pieds joints dans les pièges que le virus nous tend.