Il y a un an, nous étions des millions à nous souhaiter "une bonne année et une bonne santé". Nous l’avons fait les yeux dans les yeux, main dans la main, cœur contre cœur, enlacés, répandant tendresses et baisers à ceux que nous chérissons. Sans savoir que ces gestes si beaux, si purs, si vitaux, nous seraient bientôt interdits.
Un an plus tard, nous voilà toutes et tous condamnés à vivre loin des autres, confinés dans nos maisons, pour ceux qui en ont.