La crise a renforcé l’existence de deux humanités : celle qui clique sur un bouton et celle qui achemine les commandes
Il y a un an pile, le philosophe belge Pascal Chabot entamait son "journal d’un philosophe confiné". Il revient pour La Libre sur les grands changements inaugurés par la crise sanitaire.
Publié le 17-03-2021 à 09h56 - Mis à jour le 19-03-2021 à 12h06
:format(jpg):focal(1225.5x1235.5:1235.5x1225.5)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/AMFXHWONBVHY5IC57UIK6HP75A.jpg)
Du premier confinement, Pascal Chabot, philosophe, garde un "très bon souvenir" ! Pour La Libre, ce licencié de la Sorbonne et de l’ULB avait tenu dès le 17 mars 2020 et pendant 45 jours le "journal d’un philosophe confiné". "C’était une expérience assez forte d’ainsi essayer de forger des concepts à partir de l’expérience la plus immédiate, se souvient-il. Le côté anormal de la situation donnait à la pensée une sorte de nécessité dont elle n’a pas l’habitude."...
Cet article est réservé aux abonnés
Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité
Déjà abonné ?Connectez-vous
Sur le même sujet