"Sans le latin, les universités perdraient un peu de leur humanité"

À l'université, l'enseignement du latin n'est ni sanctuarisé, ni sécurisé s'inquiète le Premier Vice-recteur de l’Université de Liège, Jean Winand. Mais est-il encore utile? À quoi sert-il encore de l'étudier?

"Sans le latin, les universités perdraient un peu de leur humanité"
©ULiège

Jean Winand est un linguiste belge, spécialiste de l'égyptien, doyen honoraire de la faculté de philosophie et lettres, et aujourd'hui premier vice-recteur de l'Université de Liège. En 2018, il avait publié auprès de l'Académie royale de Belgique L'université à la croisée des chemins. Plaidoyer pour une université de la culture.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...