Matthieu Ricard : "Il faut oser et nourrir la bienveillance, elle est contagieuse”

Sabine Verhest et Francis Van de Woestyne

Pour un non-initié, rencontrer le moine bouddhiste Matthieu Ricard, c’est comme recevoir un grand maître en personne. Robe d’apparence identique à celle du Dalaï-Lama, même salut les mains jointes : une sorte de profondeur se dégage du personnage. Leur statut est évidemment différent. Le Dalaï-Lama est le chef spirituel des Tibétains, le second est simple moine, l’interprète et disciple du premier. Mais ils partagent d’avoir eu le même maître. Ma collègue Sabine Verhest, qui a beaucoup voyagé dans l’Himalaya, m’offre sa connaissance précieuse pour conduire cet entretien.

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