Elio Di Rupo : "Quand on ne voudra plus de moi, on me dégagera…"

L’homme est à son image : de l’ancien et du nouveau. Trois heures d’entretien, la confiance retrouvée - qu’il accorde ou peut retirer d’un trait - ont quand même permis l’une ou l’autre confidence. Voici les états d’âme de l’irremplaçable Elio Di Rupo.

Mons. Une rue derrière la Grand-Place. Treize heures. Il ouvre la porte blanche de son élégante maison en briques rouges. L’homme est à son image : de l’ancien et du nouveau. Baskets branchées. Jeans ajusté. Chemise blanche immaculée. Nœud papillon rouge. Visage lisse. Grand sourire. Cheveux noirs.

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