Génération scalpel

Depuis 2019, les 18-34 ans consomment plus d’actes esthétiques que les plus de 60 ans.

Le problème est que certains jeunes sont soumis à une forme d’addiction. Dès qu’ils corrigent une partie de leur corps, c’est une autre qu’il faut améliorer.
Le problème est que certains jeunes sont soumis à une forme d’addiction. Dès qu’ils corrigent une partie de leur corps, c’est une autre qu’il faut améliorer. ©Medicimage / Reporters

Chronique de Francis Van de Woestyne

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