Après avoir laissé filer des fleurons comme Electrabel ou Fortis Banque... L’État belge veut-il à nouveau jouer son rôle d'actionnaire qu'il a tant négligé ?
"Avec une action privilégiée dans Engie, l’Etat belge aurait pu avaliser ou s’opposer à des décisions stratégiques. Actuellement, il n’a pas ce pouvoir. C’est inquiétant..."