Plan de relance belge : pourquoi l’Europe s’inquiète

Les critiques pleuvent en coulisses sur le Plan de relance. Timing, manque de cohésion, absence de réformes... Le Secrétaire d’Etat à la relance Thomas Dermine (PS) répond, point par point.

Plan de relance belge : pourquoi l’Europe s’inquiète
©Shutterstock

Il en était peut-être presque le premier étonné. En Commission de l’économie la semaine dernière, le secrétaire d’État à la relance Thomas Dermine (PS) faisait le point sur l’état d’avancement de ce fameux plan de relance européen, baptisé “Plan pour la Reprise et la Résilience (PRR)”. Son exposé, très clair, ne suscitait aucune réelle opposition, si ce n’est celle, constructive, de Maxime Prévot (CDH), lequel s’étonnait que les discussions portent davantage sur la répartition des fonds (6 milliards au total) entre les différents niveaux de pouvoir que sur le contenu et la cohérence des projets qui seront in fine sélectionnés et soumis à l’évaluation de la Commission européenne.

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