Car le pire a été évité : une sortie anarchique du Royaume-Uni,
synonyme pour les entreprises du continent de tarifs et de quotas généralisés mais aussi de conséquences totalement imprévisibles pour des industries comme l’automobile ou l’aéronautique aux chaînes d’approvisionnement complexes, intégrées et très présentes outre-Manche. Assez logiquement, l’Association des constructeurs européens d’automobile (ACEA) et Airbus ont ainsi été parmi les premiers à exprimer leur satisfaction à l’annonce de l’accord.