#Eco$tory | Tout commence par une histoire d’amour entre la Grèce et le maquillage des comptes. Elle les maquilla une première fois pour entrer dans la zone euro en 2001, puis une seconde fois lors de la crise financière de 2008. Finalement, en novembre 2009, elle révèle la supercherie et annonce un déficit budgétaire de 12,7 % du PIB (les pays de la zone euro doivent le limiter à 3 %), et une dette publique de 115 % du PIB. Lors de cette annonce, les marchés s’affolent. Une même crainte traverse tous les esprits : et si la Grèce était insolvable ?