"On est toujours à un montant global de 130 % des projets. Il faut arriver à 100 %", détaille Thomas Dermine, secrétaire d’État à la Relance.
Un autre point qui passe souvent sous les radars mais qui devra rapidement déboucher sur de nouveaux modi operandi : la gestion des chantiers. " Souvent, ça dérape, parce qu’il y a un problème de coordination entre niveaux de pouvoir, parce qu’il y a un problème de contentieux avec le Conseil d’État ou encore des blocages dans la gestion des permis. Tout ce volet administratif et réglementaire doit être revu", insiste Thomas Dermine, secrétaire d’État à la Relance.