Check-in Horeca, l’appli qui va aider les restaurateurs à enregistrer leurs clients facilement
Damien Van Achter est un as du numérique dont la réputation n’est plus à refaire en Belgique.Ce geek dans l’âme, qui se présente comme un “mediacker”, a voulu se montrer solidaire avec le monde de l’Horeca, en proposant, purement et simplement, une application libre d’accès et disponible gratuitement qu’il a créée ce vendredi matin, entre deux activités. L’application baptisée Check-in Horeca permettra aux tenanciers de restaurants et de cafés de conserver les coordonnées de leurs clients pendant 14 jours en quelques clics.
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- Publié le 24-07-2020 à 19h17
- Mis à jour le 03-08-2020 à 17h08
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Damien Van Achter est un as du numérique dont la réputation n’est plus à refaire en Belgique.
Ce geek dans l’âme, qui se présente comme un “mediacker”, a voulu se montrer solidaire avec le monde de l’Horeca, en proposant, purement et simplement, une application libre d’accès et disponible gratuitement qu’il a créée ce vendredi matin, entre deux activités. L’application baptisée Check-in Horeca permettra aux tenanciers de restaurants et de cafés de conserver les coordonnées de leurs clients pendant 14 jours en quelques clics. “Quand j’ai entendu l’obligation de cette mesure, j’ai pensé à ces nombreuses personnes qui bossent dans ce secteur qui redémarre difficilement avec la crise, des restaurateurs qui n’ont pas forcément du temps à consacrer aux tâches administratives ennuyantes et chronophages. J’avais donc un peu de temps, que j’ai consacré pour une petite appli. Techniquement, c’est très rapide, accessible à tout appareil et basé sur le modèle d’un tableau Excel”, explique Damien Van Achter.
Il précise que l’aspect légal n’est pas de son ressort, raison pour laquelle il insiste sur un point : “Chaque restaurateur devra supprimer les données des clients au bout de 14 jours, l’appli ne doit pas servir à faire du mailing intempestif”, précise-t-il.
Un outil que chaque établissement pourra améliorer et habiller aux couleurs de son café ou restaurant. “C’est un acte de solidarité, je fais ça gratuitement, dans la logique collaborative et la culture numérique qui est la mienne, celle que je mets à disposition de tout citoyen pour qu’on puisse avancer, ensemble”.