Comment réduire la facture environnementale du commerce en ligne ?

Des aménagements subtils des sites de vente permettraient de réduire significativement les retours de certains produits.

Pour les vêtements, les résultats sont moins aisés à analyser.
Pour les vêtements, les résultats sont moins aisés à analyser. ©Copyright (c) 2020 Cineberg/Shutterstock. No use without permission.

Les deux associations représentatives du commerce en ligne, BeCommerce et SafeShops.be, ont présenté lundi les résultats d’une étude sur les pistes de transformation du secteur vers un modèle plus durable. L’idée ? Sur base des résultats d'une étude réalisée par Why5Research à la demande de la ministre des Postes et vice-première ministre Petra De Sutter, mettre en évidence les idées et les bonnes pratiques en la matière de commerce en ligne, ce qui serait à la fois rentable pour notre société et pour les entreprises du secteur. Le principe ? Analyser les données récoltées au sein de ces entreprises dont l’essentiel du trafic passe par les canaux numériques. La cible ? Le problème des retours, notamment dans l’habillement, générateur de gaspillage de biens et de pollution par les transports.

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