Eco$tory | “Le premier iPhone n’était pas très performant, ni en connectivité, ni sur l’aspect logiciel”, analyse Pascal Poty, directeur du pôle Prospective et Intelligence Territoriale à l’Agence du Numérique (AdN).
"La rupture vient de l’introduction du business model basé sur l’App Store, dans lequel sont vendues des applications pour quasiment tout usage, et dont le nombre explose littéralement”. La marque à la pomme pousse le consommateur à se poser la question continuelle du renouvellement de son iPhone, le “hub” qui permet configurer tous ses appareils et nécessite une version récente pour ce faire.