Les selfies trafiqués, pas sans danger

Le photographe écossais John Rankin Waddell a lancé un énorme pavé dans la mare des réseaux sociaux, rappelant que ce que l’on y fait présente des dangers parfois insoupçonnables.

Les selfies trafiqués, pas sans danger
©source site Rankin

Le photographe écossais John Rankin Waddell a lancé un énorme pavé dans la mare des réseaux sociaux, rappelant que ce que l’on y fait présente des dangers parfois insoupçonnables. Ainsi, il s’est penché sur les selfies où les ados (et les post-ados, ou les plus vieux que ça encore) jouent à se rendre plus en phase avec leur image souhaitée, plus ressemblante par exemple avec leurs stars favorites. Cette "amélioration" de l’image réelle est notamment de mise sur Snapchat. Mais il existe des tas d’apps permettant de se refaire une beauté en quelques clics. Pour mettre en évidence les défauts de cette pratique, cette star de l’image a mis sur pied un le programme "Selfie harm" avec la participation de 15 ados. Après les avoir photographié(e) s, il leur a remis l’image sélectionnée et les a laissés la retravailler à leur gré jusqu’à ce qu’ils estiment que l’image convienne à la diffusion sur les réseaux sociaux.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...