Libre Eco week-end: Le crowdfunding, des belles histoires mais aussi un parcours d'obstacles
SOMMAIRE | Au menu de la Libre Eco ce week-end, un dossier sur ce qu’on appelle en français le financement participatif, un outil très marginal par rapport aux liquidités surabondantes en Belgique. Mais aussi...
Publié le 19-10-2019 à 10h25 - Mis à jour le 19-10-2019 à 10h28
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Au menu de la Libre Eco ce week-end, un dossier sur ce qu’on appelle en français le financement participatif, un outil très marginal par rapport aux liquidités surabondantes en Belgique. Mais aussi...
SOMMAIRE
> Le crowdfunding, un outil pour la génération Y
Des belles histoires dans le crowdfunding, il y en a beaucoup. Comme il y a des ratés, beaucoup de ratés ou de faux espoirs. Mais au-delà de ce constat, que faut-il penser de ce qu’on appelle en français le financement participatif ? LIRE LA SUITE >>> vDes belles histoires dans le crowdfunding, il y en a beaucoup. Comme il y a des ratés, beaucoup de ratés ou de faux espoirs. Mais au-delà de ce constat, que faut-il penser de ce qu’on appelle en français le financement participatif ? LIRE LA SUITE >>>
> Le crowdfunding séduit mais ne cartonne pas
Des belles pioches, il y en a de plus en plus dans le monde belge du crowdfunding. Un monde qui fait rêver, mais qui peut aussi décevoir les entrepreneurs comme les investisseurs. Un monde qui s’agrandit en même temps qu’il se spécialise et se diversifie. Car il faut savoir que le crowfunding est devenu un concept très large où le financement par dette n’a rien à avoir avec le reward où l’investisseur est rémunéré en nature. LIRE LA SUITE >>>
> "Du temps pour devenir rentable"
Contrairement à ce que certains pourraient croire, le crowdfunding n’est pas un business rentable pour les plateformes spécialisées. Spreds, qui est le numéro un en Belgique, affichait une perte d’environ 1 million en 2018, comme en 2017. Comment expliquer cela? LIRE LA SUITE >>>
> Crowdfunding de Marcolini? On participe!
Le crowdfunding pour une entreprise qui "boome" et qui a pignon sur rue? Pourquoi pas? C’est ce que s’est dit l’équipe du chocolatier belge de renommée internationale, Pierre Marcolini. LIRE LA SUITE >>>
> Vadot: "Le crowdfunding n’est qu’une étape"
"On ne va pas se mentir. Aucun éditeur ne voulait de moi. Je suis donc passé par le canal du crowdfunding pour éditer ma bande dessinée "Maudit Mardi", ce qui m’a valu de récolter 50 000 euros", explique d’emblée Nicolas Vadot, dessinateur de presse, éditorialiste (Le Vif, L’Echo…) et chroniqueur régulier en radio. LIRE LA SUITE >>>
> Les développeurs immobiliers sont de bons clients des plateformes de crowdlending
Les levées de fonds leur permettent en effet de diminuer la part de fonds propres que les banques exigent d’eux. Et cela fonctionne. Il faut dire qu’en proposant des rendements annuels de 6 % et plus, lesdites plateformes ne sont pas en manque de clients potentiels. LIRE LA SUITE >>>
> Shak&Kai, c’est mode, belge et propre
Ce sera Shak&Kai. Afin de convaincre des premiers clients à acheter l’une ou l’autre pièce de la première collection, le fondateur de la start-up lance une campagne de crowdfunding sur la plateforme Ulule. L’ambition est de récolter 8 000 euros en invitant les contributeurs à précommander un t-shirt, une robe ou un top. La campagne est lancée... LIRE LA SUITE >>>
> START-UP DE LA SEMAINE | TrustUp.be construit son succès sur la confiance
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