Malgré ses déboires, EDF veut construire six nouveaux EPR

Pour bon nombre d’observateurs, le nucléaire ne pourra reprendre des couleurs en Europe qu’avec une réduction drastique de ses coûts. Ces dernières années, le Français EDF a multiplié les dérapages budgétaires et repoussé, à multiples reprises, le démarrage de ses réacteurs de troisième génération, l’EPR, sur trois chantiers maudits : à Flamanville (France), Hinkley Point (Royaume-Uni) et Olkiluoto (Finlande, détenu formellement par Areva).

LIBRE ECO WEEK-END | Pour bon nombre d’observateurs, le nucléaire ne pourra reprendre des couleurs en Europe qu’avec une réduction drastique de ses coûts. Ces dernières années, le Français EDF a multiplié les dérapages budgétaires et repoussé, à multiples reprises, le démarrage de ses réacteurs de troisième génération, l’EPR, sur trois chantiers maudits : à Flamanville (France), Hinkley Point (Royaume-Uni) et Olkiluoto (Finlande, détenu formellement par Areva).

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...