Quand Bruxelles soutient ses commerces locaux

Pendant un mois, La Libre Eco propose chaque semaine une série estivale. Après le “Tourisme made in Belgium”, place à “Tous en ligne !” avec ces entreprises qui, en raison du coronavirus, sont passées aux ventes sur Internet ou ont accéléré le mouvement. La Ville a mis en place un très beau site de présentation pour parer au plus pressé.

Quand Bruxelles soutient ses commerces locaux

Comme tout le monde, et comme partout, la Ville de Bruxelles s’est retrouvée à la mi-mars en état de siège, ou presque. L’arsenal de mesures déployées par l’État fédéral, primes de soutien, droit passerelle, chômage temporaire, a certainement permis à bon nombre de commerçants de survivre durant cet arrêt inattendu de l’activité. D’autres ont préféré tenter de maintenir le courant des affaires, en dépit des circonstances. À Bruxelles, l’échevin des Affaires économiques, Fabian Maingain, a voulu être aux côtés de ces entrepreneurs. "Nous avons voulu rester auprès de ceux qui ont tenté de garder une activité, au travers des livraisons, du commerce en ligne, nous explique-t-il. Nous avons donc mis sur pied un site d’e-marketing et d’e-commerce dédié à nos commerçants et nous avons listé tous ceux qui poursuivaient leurs activités. Enfin, notre objectif est maintenant de soutenir le redémarrage post-confinement, au travers de cet outil et d’une série de mesures de relance", poursuit Fabian Maingain. Plus qu’un sous-site de celui de la Ville de Bruxelles, il y a ici un espace qui s’inscrit dans une politique plus globale de soutien aux commerçants locaux. Et il est fort bien réalisé, en français et en néerlandais.

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