Après avoir laissé filer des fleurons comme Electrabel ou Fortis Banque... L’État belge veut-il à nouveau jouer son rôle d'actionnaire qu'il a tant négligé ?

Assiste-t-on au réveil de l’État belge actionnaire ?

Ariane van Caloen
Ariane van CaloenJournaliste économique à La Libre Belgique

Publié le 11-02-2022 à 14h23 - Mis à jour le 11-02-2022 à 15h54

Après avoir laissé filer des fleurons comme Electrabel ou Fortis Banque... L’État belge veut-il à nouveau jouer son rôle d'actionnaire qu'il a tant négligé ?
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Après avoir laissé filer quelques fleurons comme Electrabel (repris par Engie), PetroFina (dans le giron de Total) ou Fortis Banque (racheté par BNP Paribas), l’État belge veut-il à nouveau jouer un rôle qu’il avait négligé pendant de nombreuses...

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