Philippe De Koster : "En Belgique, une partie du capital de grandes entreprises pourrait se retrouver aux mains de groupes criminels"

Corruption, blanchiment… la Cetif, cellule de traitement des informations financières, sonne l’alerte.

“Il serait bon d’obliger les Belges à déclarer leurs comptes en cryptomonnaie”, affirme Philippe De Koster, le président de la Cetif.
“Il serait bon d’obliger les Belges à déclarer leurs comptes en cryptomonnaie”, affirme Philippe De Koster, le président de la Cetif. ©Belga

L’Invité Eco | Philippe de Koster est président de la Cetif, la Cellule de traitement des informations financières, depuis 2016. S’appuyant sur des effectifs d’une soixantaine de personnes, cette autorité administrative indépendante est chargée de lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. La Cetif reçoit des signalements de la part de diverses professions, amenées à constater des mouvements financiers suspects : banques, notaires, experts-comptables…

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