Pourquoi les entreprises n’anticipent pas assez la succession de leurs dirigeants et collaborateurs clefs

Près de 40 % des sociétés déclarent n’avoir mis aucun plan en place pour assurer la continuité de leur activité.

Le mauvais passage de relais d'un dirigeant à un autre peut entraîner de la perte de temps, un impact négatif sur les opérations ou encore une perte de confiance de la part des investisseurs et du marché.
Le mauvais passage de relais d'un dirigeant à un autre peut entraîner de la perte de temps, un impact négatif sur les opérations ou encore une perte de confiance de la part des investisseurs et du marché. ©Copyright (c) 2022 Gonzalo R.J/Shutterstock. No use without permission.

Seulement la moitié des entreprises belges possèdent un plan de succession de leur dirigeant, d’un membre du conseil d’administration ou d’un autre poste critique dans leur organisation. Débauchage, départ à la retraite, décès… Les raisons possibles à la fin de mandat d’un chef d’entreprise, d’un directeur financier, d’un responsable commercial ou informatique sont nombreuses… Pourtant, près de 40 % des sociétés du Plat pays déclarent n’avoir mis aucune stratégie en place pour faire face au départ d’un leader.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...