Kyril Louis-Dreyfus a mouillé son maillot pour devenir le nouveau propriétaire de Sunderland. “C’est signé. Je n’ai pas dormi ces trois dernières semaines. Maintenant, j’éteins mon téléphone”, a-t-il communiqué le jour du réveillon. Mais pourquoi avoir jeté son dévolu sur un club évoluant tant bien que mal en League One anglaise – l’équivalent d’une troisième division –, bien loin des sommets de la prestigieuse Premier League au sein de laquelle Newcastle, le grand rival géographique et sportif de Sunderland, est toujours à vendre?
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