Objets emballés, masques, gants… autant d’objets qui n’ont pas disparu de nos vies, en particulier à cause de la pandémie de Covid-19. Pourtant, personne ne voulait de cette multiplication explosive de produits qui contiennent du plastique. Et qui dit plastique dit pétrochimie. D’où la question suivante : comment la chimie, dans son ensemble, peut-elle tirer bénéfice de la crise tout en se réinventant pour répondre aux attentes environnementales ? Comment être rentable en réduisant son empreinte carbone et sa dépendance aux ressources fossiles ?