La date du 17 juin, qui marque la fin du moratoire sur les faillites, approche à grands pas. Beaucoup reconnaissent les effets pervers de cette mise sous perfusion. Les négociations entre partis s’annoncent pourtant complexes…
Va-t-on encore prolonger au-delà du 17 juin le moratoire sur les faillites, comme le demandent la plupart des experts des cabinets ministériels du gouvernement Wilmès et des experts de l’ERMG (Economic Risk Management Group), du nom de ce groupe chargé de monitorer la crise que l’on connaît aujourd’hui ? La réponse est plus complexe qu’imaginé.