" L’idée n’est pas d’imposer les tests à tout moment mais de trouver des alternatives sécuritaires afin de soit ouvrir l’Horeca plus vite, soit d’éviter de devoir refermer celui-ci", a expliqué Philippe Devos, président de l’Absym et du conseil médical sur le plateau de RTL ce dimanche. Pour le directeur adjoint du service soins intensifs au CHC Liège, ces tests rapides constituent donc "un plan B" pour "pouvoir continuer à ouvrir et peut-être augmenter la capacité des restaurants à accueillir des gens".