"Nous avons réfléchi à un système pour lancer les ventes avec les travailleurs sous statut spécial, celui d’auto-repreneur qui découle du statut d’auto-entrepreneur. On demande ainsi à nos travailleurs de travailler pendant deux mois avec ce statut-là, ce qui leur permet de toucher le chômage et nous d’économiser sur les frais salariaux. Au terme de ces deux mois, les travailleurs recevront des parts de l’entreprise en fonction du temps presté et du chiffre d’affaires réalisé. À ce jour, 60 des 80 membres de notre personnel ont accepté ce statut d’auto-repreneur", détaille Pascale Switten, directrice générale de Cameleon.